Loose, la revue gratuite la plus chère au monde
Loose est une revue gratuite à tirage et fréquence de parution variables.
Loose présente le travail de graphistes, d’auteurs, de plasticiens, de photographes… autour de thèmes imposés et renouvelés à chaque numéro.
Les thèmes déclinent toutes les acceptions du mot Loose.
Il s’agit d’un parti pris éditorial sans doute appelé à évoluer.
La revue présente aussi des numéros hors-série qui échappent au jeu de nuances sémantiques qui fonde Loose.
Le format « revue » offre un espace où dialoguent disciplines et techniques, où elles échangent, se mêlent et parfois s’entrechoquent..
La revue expose quand le journal ou le magazine commentent et analysent.
La revue s’émancipe de l’actualité. Elle a pour vocation de faire l’actualité.
Conséquemment, Loose est un objet et non un produit.
Un objet dont le format autorise des tirages à grande échelle, une large diffusion et des déclinaisons multimédias.
L’édition de Loose est la reproduction des planches originales qui constituent son « chemin de fer ».
Ces planches sont chacune tirées à un seul exemplaire.
La rédaction de Loose intervient manuellement sur les planches, interventions qui leur confèrent leur unicité.
Les planches sont présentées et mises en vente à l’occasion d’expositions.
Les planches originales sont photographiées, mises en pages et imprimées.
Leur assemblage constitue la version « print » de la revue.
C'est suuupeeer tout ça
RépondreSupprimerHey Bill where the video is ?
RépondreSupprimerJe suis moi. Et moi, c'est moi. Je suis moi, je suis ici. Je suis quelque chose. Je suis quelqu'un. J'arrive haut, très haut. Je peux sauter, gambader, bondir, courir vite comme le vent. Je peux crier fort, marcher lentement ou rapidement. Je sais me battre… Arnie m'apprend comment. Je suis quelqu'un. Le soleil m'éclaire. La pluie me mouille. La neige tombe pour moi ; alors, je fais de la luge, des glissades et des boules de neige. Je suis rapide. J'ai des mains qui empoignent, qui griffent, qui s'ouvrent, qui sautent, qui tapent. Je suis un géant pour les cafards, les mouches et les punaises. Je les saisis entre mes doigts. Je peux les écraser, les aplatir à coups de talons. Il n'y en a pas un qui proteste (…
RépondreSupprimer« En 1913 j'eus l'heureuse idée de fixer une roue de bicyclette sur un tabouret de cuisine et de la regarder tourner.
RépondreSupprimerQuelques mois plus tard j'ai acheté une reproduction bon marché d'un paysage de soir d'hiver, que j'appelai « Pharmacie » après y avoir ajouté deux petites touches, l'une rouge et l'autre jaune, sur l'horizon.
A New York en 1915 j'achetai dans une quincaillerie une pelle à neige sur laquelle j'écrivis « En prévision du bras cassé » (In advance of the broken arm).
C'est vers cette époque que le mot « ready-made » me vint à l'esprit pour désigner cette forme de manifestation.
Il est un point que je veux établir très clairement, c'est que le choix de ces ready-mades ne me fut jamais dicté par quelque délectation esthétique. Ce choix était fondé sur une réaction d'indifférence visuelle, assortie au même moment à une absence totale de bon ou de mauvais goût… en fait une anesthésie complète.
Une caractéristique importante : la courte phrase qu'à l'occasion j'inscrivais sur le ready-made.
Cette phrase, au lieu de décrire l'objet comme l'aurait fait un titre, était destinée à emporter l'esprit du spectateur vers d'autres régions plus verbales. Quelques fois j'ajoutais un détail graphique de présentation : j'appelais cela pour satisfaire mon penchant pour les allitérations, « un ready-made aidé » (ready-made aided).
Une autre fois, voulant souligner l'antinomie fondamentale qui existe entre l'art et les ready-mades, j'imaginais un « ready-made réciproque » (reciprocal ready-made) : se servir d'un Rembrandt comme table à repasser !
Très tôt je me rendis compte du danger qu'il pouvait y avoir à resservir sans discrimination cette forme d'expression et je décidai de limiter la production des ready-mades à un petit nombre chaque année. Je m'avisai à cette époque que, pour le spectateur plus encore que pour l'artiste, l'art est une drogue à accoutumance et je voulais protéger mes ready-mades contre une contamination de ce genre.
Un autre aspect du ready-made est qu'il n'a rien d'unique… La réplique d'un ready-made transmet le même message ; en fait presque tous les ready-mades existant aujourd'hui ne sont pas des originaux au sens reçu du terme.
Une dernière remarque pour conclure ce discours d'égomaniaque :
Comme les tubes de peintures utilisés par l'artiste sont des produits manufacturés et tout faits, nous devons conclure que toutes les toiles du monde sont des ready-mades aidés et des travaux d'assemblage.»
Il ne faut pas confondre "Born to lose" et "Born too loose"
RépondreSupprimerEt ni avec born Toulouse
RépondreSupprimerCertains lecteurs trouveront probablement nos méthodes un peu expéditives. Nous pensons en effet qu’il convient de développer de nouvelles grilles de recherche dans un domaine qui tend à se scléroser en faisant notamment la part de ce que nous appellerons l’épistémologie populaire, c’est à dire en essayant de comprendre – comme dans notre article sur l’ergonomie des langues – comment le locuteur contribue à la vie de sa langue en trouvant des parades à certaines carences structurelles de celle-ci mais aussi en introduisant de façon sauvage certains emprunts qui vont affecter le profil général de sa langue. C’est un peu la revanche de la sociolinguistique sur Saussure ! Cela explique probablement pourquoi nous avons eu des difficultés à faire reconnaître nos recherches au niveau universitaire, à Paris V...
RépondreSupprimerCome down to the willow garden
RépondreSupprimerwith me
come go with me
come go and see
Although I've howled across fields and my eyes
turned grey
are yours still the same?
are you still the same?
Carry Home
I have returned
through so many highways
and so many tears
Your letter never survived the heat of
my hand
my burning hand
my sweating hand
Your love never survived the heat of
my heart
my violent heart
in the dark
Carry Home
I have returned
through so many highways
and so many tears
Carry Home to where I am from
carry to the place that I have come
carry to the dust and flies behind me
carry to the cracks and caves on the face of me
Oh, but I didn't change, I just had to work
Yeah, but I didn't change, I just had to work
and now I'm home, and now I'm home
do you still want me?
Now, that I'm home
Come down to the willow garden with me
come go with me
come go and see
Loose est le troisième album de Nelly Furtado, après Folklore et Whoa, Nelly!. Il est sorti, en 2006, dans le monde le 12 juin et le 20 juin aux États-Unis. Une deuxième édition est sortie le 26 juin et est vendue à partir du 11 juillet en Amérique. Cet album est le plus récompensé de sa carrière et s'est écoulé (à la date de novembre 2007) à 8 millions d'exemplaires dans le monde grâce à des tubes comme Maneater, Promiscuous, All Good Things ou Say It Right.
RépondreSupprimerIl faut savoir qu'il n'y a pas eu de premier single mais 3 premiers singles qui sont : Maneater (en Europe), No Hay Igual (en Amérique du Sud et en Espagne) et Promiscuous (aux États-Unis). Sources Wikipedia ahahah !
I'am a Loser babe, why don't you kill me ?
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